ART N°64 : LE PARDON ET LA PRIÈRE

LE PARDON

En hébreux : nāśā et sālǎḥ

 

Ses Synonymes sont : Absolution, Rédemption, Grâce, Rémission, Indulgence.                               Acte accorder à quelqu’un pour ses offenses, ses péchés et restaure le croyant dans sa relation avec Dieu. Mt 6:14-15 ; Mc 11:25 ; Lc 11:4.

 

Pas évident de demander pardon, mais si bon de se réconcilier. Pardonner, c’est   laisser le péché dans le passé, cela ne signifie pas que la faute faite sera minimisée, mais la personne concernée se sentira libérer d’être pardonnée. Il est probable, que vous ne ferez plus confiance à la personne concernée, l’important, c’est votre sincérité ! Si vous ne pardonner pas, vous allez ressassez et ainsi cultiver cette offense au risque de commettre l’irréparable. Tant que l’on a de l’amour en nous, notre vengeance est le pardon ! 1Jn 2:9-11 ; Lc 7:47 ; Rm 5:1-2. 

LA PRIÈRE

 

Acte d’adoration par lequel on s’adresse au vrai Dieu, ou à des faux dieux.

 

La prière implique l’attachement, la confiance, le respect et un sentiment de dépendance envers celui qu’on prie.

Les divers mots hébreux et grecs relatifs à la prière emportent les idées suivantes :

Demander, faire requête, implorer, supplier, solliciter, demander instamment, insister (auprès de), implorer la faveur (de), rechercher, interroger, mais aussi louer, remercier et bénir.

Des requêtes et des supplications peuvent, bien sûr, être adressées à des humains, et les termes originaux ont parfois ces sens, Gn 44:18 ; 50:15-17. Ac 25:10-11. En revanche, le mot prière, employé dans un sens religieux, ne s’applique pas dans ces cas.

On peut ‘’supplier’’ ou ‘’implorer’’ quelqu’un de faire quelque chose, mais ce faisant on ne le considère pas comme son Dieu.

On n’adresserait pas par exemple, ‘’de requête muette’’ à cette personne si elle n’était pas présente, visible, comme lorsqu’on prie Dieu.

Il faut avoir ‘’foi en Dieu’’, être convaincu qu’il est Celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement. Hé 11:1-3…. S’approcher de Lui dans la pleine certitude de la foi. Hé 10:19-25, 36-39.

Il est indispensable de reconnaître qu’on est pécheur et, si on a commis des péchés graves, il faut  adoucir la face de Yahvé (1S 13:8-14 ; Dn 9:12-19), en adoucissant d’abord son propre cœur dans un sentiment sincère de repentance, d’humilité et de contrition. 2Ch 34:22-33. Alors Dieu peut se laisser implorer, accorder son pardon et écouter avec faveur tous ceux qui prennent conscience de leurs actes. 2R13:1-4 ; 2Ch 7:11-22 ; 33:1-20. Jc 4:6-12.

 

On n’a plus la sensation que Dieu barre tout accès auprès de Lui avec une masse nuageuse, pour que la prière ne passe pas. Lm 3:31-50.

 

Même si Dieu ne cesse pas complètement d’écouter celui qui ne suit pas ses conseils, les prières de cet homme risquent d’être “ entravées ”. 1P3:5-12. Ceux qui veulent se faire pardonner doivent pardonner aux autres. Mt 6:14-15 ; Mc 11:25 ; Lc 11:4.

Pour être acceptable, une prière doit être adressée à qui de droit, à Yahwé Dieu.          

Elle doit aborder des sujets qui conviennent, c’est-à-dire conformes aux desseins déclarés de Dieu. Elle doit être dite de la bonne manière, par l’intermédiaire de la “ voie ” décidée par Dieu, "Christ Jésus". Elle doit être faite avec de bons mobiles et un cœur pur. Jc 4:1-6.

Il nous faut avoir de la persistance, Jésus fait savoir : Lc 11:5-13 ; 18:1-17.

Le livre des Psaumes tout entier consiste en prières et en chants de louange à Dieu, et son contenu donne une idée de ce que devrait-être la prière.

Jésus Christ est la seule et unique “ voie ” ou “ le chemin ” de réconciliation avec Dieu et d’accès auprès de Dieu dans la prière. Jn 14:6, 15 ; 16:23-24 ; Ép 2:13-18...

 

1,3 milliards de catholiques vénèrent, aspirent et prient un saint différent chaque jour que Dieu fait, ce qui fait en tout 365 saints / an, bien sûr Marie surpasse toutes les saintetés du fait qu’elle est la Mère de Dieu et peu importe ce que disent les Textes Sacrés (Hé 5:1-10 ; 7:20-28 ; Jn 14:6). À en croire en leur pratique, il est plus profitable de prier à des saints qui pour la plupart ont été canonisés par l'église romaine que le de se remettre en Christ en personne.               

Si l’on se réfère à l’Histoire avec un grand ‘’H’’ de l’église universelle (catholique), et que on l’a confonde aux premières Églises citées aux chapitres 2 et 3 du livre de l’Apocalypse, c’est comme affirmer que le Corps du Christ (Église Sainte), serait la Fameuse Babylone et que la Vierge Marie, la Fameuse Prostituée (lire les articles n°51, 52 et 57 ). 1Cor 12:12-13… ; Ép 6:10-20.   

Les prédécesseurs de Paul, les patriarches bibliques, ont toujours prié en direction de Dieu pour eux-mêmes et pour tous ceux et celles qui souhaitaient réussir dans La Volonté du Tout Puissant, afin de mériter Son Pardon et Son Salut. Jamais ils n’ont fait savoir et n’ont fait entendre qu'il fallait les prier eux et uniquement eux pour qu'ils nous délivrent, nous protègent du mal et nous aident à répondre à nos différents problèmes de notre vie de tous les jours en exhaussant nos prières !                           Ex 20:4-6 (Jn 14:6). C’est donc bien à dessein que l'église romaine enseigne et encourage ses fidèles à prier Marie et tous les saints (es) qu'elle canonise. Mt 23:1-33 ; 2Cor 4:3-4.                                                                                                

Voici comment un mythe vient à naître : Pie XII 1950 - CONSTITUTION APOSTOLIQUE MUNIFICENTISSIMUS DEUS D�FINISSANT LE DOGME DE L'ASSOMPTION   

 

Parole d'un chrétien

ART N°63 : LA SCIENCE ET LA BIBLE

La Science et la Bible

Prenons pour commencer la Théorie Cosmologique, le ‘Big-Bang’, là où tout aurait commencé !

Une Réaction n’est-elle pas influencée par une Action ?

Réaction : force qu'exerce en retour un corps soumis à l’action d’un autre corps.

Action : fait, faculté d’agir, de manifester sa volonté en accomplissant quelque chose.

  Le petit Larousse compact 2005 

Ok !

Imaginons une pièce parfaitement aseptisée, parfaitement hermétique à l’abri de toutes choses, de toutes vies et d’un quelconque événement extérieur.

Serait-il possible que la vie puisse apparaître ? 

Assurément Non !

Le dictionnaire parle, d’un corps non vivant qui est soumis à l’action d’un autre corps non vivant.

Une chose et peu importe laquelle ne possède aucune forme d’intelligence qui lui permet d‘agir par sa propre volonté parce qu’elle est dépourvue de toute vie.

Il est donc logique de penser qu’une action est la volonté d’une entité et non d’une quelconque chose ayant aucune forme d'intelligence (Gn1:1-2…). 

Par conséquent pour compléter la théorie du Big-Bang, il est plus sage de dire : qu’une réaction fait suite à une action volontaire et non de faire croire dans l'imaginaire collectif que toute réalité concrète de la vie est le fruit du hasard.  

Les Origines des Espèces

Charles Darwin, naturaliste britannique fit connaître dans son ouvrage majeur l'origine des espèces par voie de sélection naturelle.

Les paléontologistes dont la science est l'étude des fossiles des êtres vivants ayant peuplé la terre aux époques géologiques, ont à quelque chose près la même analyse que peuvent avoir les évolutionnistes de la doctrine darwinisme. L'homme descendrait d'un animal et en particulier d'une race de singe (Lucy) qui aurait évoluée au fur et mesure sur des millions d'années. 

 

                                                                           Ok !                                                    

Il n’est pas impossible qu’un jour, lors de fouilles archéologique une incroyable découverte d’ossements de Nephilim ou de squelettes de la descendance d’Anaq, dont la date serait antérieure à celle de Lucy soit mise à jour. Ce qui remettrait en question, la doctrine darwinisme. Gn 6:1-4 ; Nb 13:27-33 ; 1Ch 20:5-6 ; 1S 17:1-7.   

Galilée, de son vrai nom Galiléo Galilei astronome et physicien italien (1564-1642) qui inventa la Lunette astronomique, défendait la thèse de Copernic, selon laquelle la terre n’est pas le centre de l’Univers, mais tourne sur elle-même et autour du soleil. Il fut condamné à résidence surveillée jusqu’à sa mort et devait abjurer ses hypothèses, sous peine du bûcher. Il faudra attendre 1992 pour que l’église, par la voix du pape Jean Paul II, reconnaisse ses torts à l’égard de Galilée. 

 

Ératosthène de Cyrène astronome et géographe grec (276-194 av J-Ch), est connu pour son calcul de la circonférence de la Terre, le premier à affirmer que la terre est ronde. Alors que vers 2185 av J-Ch ceci fut attesté (Jb 26:7), et du 8^e et 9^e siècle av J-Ch (Is 40:22 ; Pv 8:27-29). 

 

Enfin bref, Comprend qui veut comprendre !

 

Allons plus loin dans la réflexion !

Une formule c’est une ou plusieurs combinaisons de données écrites émanant d’une pensée savante.

À titre d’exemple, les 4 éléments naturels qui sont considérés par les anciens, comme les composants ultimes de la réalité : l’Air, l’Eau, le Feu et la Terre.

L’homme est-il capable non pas de reproduire mais de créer la vie ?

 

                                                          Une fois encore Non !

Si l’un des éléments venait à manquer ou a disparaître de la surface du globe la menace serait-elle que toute vie sur terre serait abolie.

La Vie émane donc obligatoirement et systématiquement d'une pensée savante, et donc, d’une Entité Créatrice que l'on veuille ou non.

L’Existence d’une Vie Intelligente Ailleurs que sur Terre ?

Sur ce sujet, il me faut citer, le père José Funes, directeur de l’Observatoire du Vatican, qui, le 13 mai 2008 dans le journal du Saint-Siège l’Osservatore Romano, a publié une interview dans laquelle il déclarait : « Selon moi, cette possibilité, celle de l’existence d’une vie extraterrestre intelligente, existe ».

 

Là encore, ce prêtre ne fait aucunement référence aux Textes Sacrés, il suppose, il en n’est pas sûr, c’est selon lui, alors que la Bible parle : d’êtres spirituels, Anges et Démons présents dans les cieux. Ép 6:12. Dn 10:11-18.

 

Les Écritures citent dans le monde spirituel, d'êtres à caractère matériel.  Né 9:6 ; Is 24:21. Mc 13:27.  Que seulement la terre est porteuse de vie. Gn 1:1, 27 ; 2:1. Ac 17:24-28.            Ps 115:16.

Extrait National Géographique Science

 

Habitabilité et Civilisation

 

Les astronomes sont à deux doigts de déterminer le facteur suivant de l’équation, à savoir la part des planètes habitables sur lesquelles la vie évolue. Alors que l’exploration de notre système solaire se poursuit, nous constatons que la liste des mondes habitables est longue et diverse. À titre d’exemple, Mars ou Europe, la lune glacée de Jupiter, pourraient abriter la présence d’une vie microbiologique. Même les nuages toxiques flottant au-dessus de Vénus pourraient potentiellement receler des formes de vie.

« Si cela s’est produit plus d’une fois dans le système solaire, vous obtiendrez cette estimation assez rapidement », confie Jason Wright.

Trouver ne serait-ce qu’un seul exemple de présence de vie hors de la Terre prouverait que la biologie n’est pas le résultat d’un extraordinaire coup de chance cosmique, mais plutôt un résultat probable si les ingrédients nécessaires sont réunis. Pour de nombreux astronomes, au vu du nombre de planètes habitables dans l’univers, la présence de vie est quasiment inévitable.

Cependant, comme le dit si bien mon père, les dernières variables de l’équation de Drake, celles qui nous diront si seule la Terre abrite des organismes adeptes des technologies dans la galaxie, resteront un mystère tant que nous n’entendrons pas les murmures des mondes extraterrestres.

Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com 

L’Auteur du Big-Bang

Selon mon interprétation : Lorsque Le Verbe Dieu Yahwé, Le Créateur, Le Dieu Invisible Décide de Créer, Sa toute Première Pensée c’est la Vie. 

La Lumière qui Née instantanément du néant des ténèbres de l' Esprit Saint de Dieu Yahwé, se révèle donc en la Naissance de Messie Jésus, Son Fils, le 1er Né de toutes vies et de toutes choses dans le néant de l’univers, mais rien mis à part Messie Jésus n'est né et créer de Dieu à ce moment précis (Gn 1:3-4. Col 1:15-17).

Toujours sous la houlette du Grand Architecte, Dieu Yahwé, Messie Jésus réalise la Volonté de son Père (Gn 1:6, 9, 11, 14, 20, 24). 

Le firmament, les mondes visibles du Cosmos créés par les mains habiles de son Fils, sont toujours invisible par l’homme, jusqu'au moment de sa création au 6e jour du monde visible par lui                 (Gn 1:26-27). Il est clair que depuis le commencement de la création Dieu Le Père Créateur Est accompagné de son Fils Emmanuel, Jésus Christ (Gn 3:22 ; 11:7).

D’Essence Divine et Créatrice du Dieu Invisible, Messie Jésus, Est, par conséquent, Le Dieu visible par Qui toutes choses et toutes vies fût créées (Hé 1:1-10).

Autrement dit, le Big-Bang, la Création de toutes choses et de toutes vies utilisé par les scientifiques pour décrire l’origine et l’évolution de l’univers, l’homme spirituel que je suis l’explique au travers de la Réaction de La Parole, Le Verbe du Dieu Créateur, Le Grand Architecte, et par l’Action du Verbe Bâtisseur Christ-Jésus que tout est né (Jn 1:1-5). Voilà comment j'imagine et j'interprète la Genèse (Hé 11:1-2).

Aussi assurément, il est plus judicieux et jubilatoire de s’inspirer à un tel scénario que d’être le fruit d’une évolution hasardeuse, où l’homme serait d’origine animal, ou encore, celle d’une intelligente extraterrestre imaginaire. 

Parole d'un chrétien  

ART N°62 : EUTHANASIE

Dieu désapprouve-t-Il l’Aide Médicale à Mourir ?

Définition : Usage des procédés qui permettent de hâter ou de provoquer la mort de malades incurables qui souffrent et souhaitent mourir.

 

L′Euthanasie en France est encadrée principalement par deux lois : la loi de 2002 sur le droit des malades, et la Loi Clayes-Léonetti du 2 février 2016 relative aux droits des patients en fin de vie...

 

On distingue deux types d'Euthanasies 

 

- l'euthanasie active : c'est le geste d'un tiers qui donne la mort.

- l'euthanasie passive : c'est l'arrêt des traitements qui abrège la vie lorsque le cas est désespéré (refus d'acharnement thérapeutique).

Voici les références bibliques qui m’ont été apportées et sensées appuyer le ‘’Pour’’ ou le ‘’Contre’’ sur l’assistance aux personnes en phase terminale de vie (l’Euthanasie) :                 1Cor 15:26, 54-56. Gn 2:7 ; Dt 30:19 ; Jb 30:23 ; Ec 8:8. Hé 2:9, 14-15 ; Ap 21:4. Ec 7:14 ;         Rm 5:3 et la plus reprise Ex 20:13. Après vérification, pas une seule des références bibliques montrent et affirment que Dieu désapprouve l’idée de l’Aide Médicale à Mourir (AMM).

Soit, le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort et qu’elle sera engloutie dans la victoire (). Que la vie est un don de Dieu (). Qu’il est préférable de choisir la vie que la mort (). Que la mort c’est le rendez-vous de tous les vivants (). Que l’homme n’est pas maître de son souffle, et n’a aucune puissance sur le jour de sa mort, cela paraît évident ! (). Que Jésus souffrît la mort pour tous, afin d’anéantir celui qui détient la puissance de la mort, le diable (). Que grâce à Lui la mort disparaitra (). Que nous soyons heureux ou malheureux, l’un comme l’autre, nous ignorons tout après nous (). Que l’affliction produit la persévérance (). Pour conclure, le 5^e Commandement qui dit : tu ne tueras point (), concerne seulement, à mon sens, toute personne ayant un profil criminel, et non pas une personne en phase terminale ayant pour vœux la fin de vie. Qui plus est, rien n’affirme que Dieu désapprouve l’Aide Médicale à Mourir dans la Dignité !

Comme les ‘’Anti-IVG’’, les chrétiens ‘’Contres l’AMM’’, prétendent que c’est une tentative humaine pour usurper l’autorité de Dieu, ayant pour seule référence principale : Ex 20:13 ;        Ps 139:13-18. Pourquoi alors, ne pas appliquer ce qui suit : Ex 21:12-17, 22-25 ? 

L’Éternel nous honore du Libre Arbitre, la capacité de prendre nos propres décisions.                    Dt 30:19-20 ; Is 48:18 ; Ec 9:10 ; Pv 21:5. Gal 1:3-4 ; 5:13 ; Jn 10:17-18 ; Ep 6:8. Ps 119:108. 

La Compassion Digne de Foi, c’est l’une des plus belles Vertu. Mt 7:11-12 ; 2Tm 2:11 ;              1Jn 4:7-9, 20 ; 3:15-16. Ex 15:26 ; Pv 17:9, 22. Ep 4:1-3 ; Col 3:12-14 ; Jc 5:16.

La vie mérite-t-elle d’être vécue à n’importe quel prix ?                                                             Ne vaut-il pas mieux préférer la mort qu’une maladie maligne persistante ?

Cela étant dit, les personnes estimant qu’il faut toujours promouvoir la vie, peu importe les circonstances, devraient méditer davantage sur ces quelques textes bibliques, qui reconnaissent qu’il y a des situations où la vie ne vaut pas la peine d’être vécue et où la mort peut être plus humaine et avoir plus de sens que la vie. Qo 4:1-3 ; Si 30:17 ; 40:28-29 ; 41:2. Rm 14:8. 

En tant que chrétiens, si ce que nous pensons faire pour nous mêmes, nous sembles être une bonne chose et ne va pas à l’encontre de la Volonté de Dieu, qui peut prétendre que Dieu condamnera l’action ? Mt 7:11-12. 

 

Nous ne savons absolument rien ce que Dieu décidera pour telle et telle personne au jour de la deuxième résurrection. Salomon un dévot de Dieu il était (1R 3:3-14), car à l’époque de sa vieillesse, il s’en est détourné (1R 11:1-11…). Alors qui peut savoir d’avance et avec certitude, quel sera le sort décidé par Dieu pour l’avenir de ce roi si admiré au jour du Grand Jugement ?           Is 55:8-9. Rm 11:34-35 ; 1Cor 2:16.

 

Toujours est-il, si l'euthanasie est considérée comme un acte d’humanité pour un cheval ayant une cassure à une patte, afin d’éviter une souffrance prolongée, à combien plus forte raison pour les malades incurables qui souffrent et souhaitent mourir, l’acte d’humanité sera considérée. Aussi de rajouter, après étude, qu’il n’existe aucun critère biblique sur le suicide, et cela, quel que soit le motif de l’acte suicidaire. 1Sm 1:20-23. Jc 4:17 ; 1Jn 2:29 ; Mt 11:28.

 

Malheur à ceux qui pensent à la place de Dieu et qui culpabilisent les plus fragiles et leurs font peser un lourd fardeau sur leurs épaules. Is 5:19-21.

Comme lorsque sur les faire-part de décès jadis était inscrit et encore aujourd’hui nous entendons dire de la bouche de certains prêtres : « Le Seigneur l’a rappelé à Lui » ou que : « C’est l’œuvre de Dieu ». Imputer à Dieu le deuil, les catastrophes inexpliquées, c’est ajouter du malheur au monde, et en attendant le diable ricane. Jb 37:23. Jc 1:13-14.

Ce qui semble tout autant abracadabrantesque, mais que personne relève, c’est que dans les hôpitaux, lieux de tous les maux et de souffrances, les aumôniers investis de l’Esprit Saint, soi-disant, ne font étalage d’aucun acte de Don de guérison, assurément bien utile pour de multiples raisons, et ce n’est pas tant par humilité, mais parce qu’il y a des lieux ou la fourberie ne peut être dissimulée. Mt 9:5.

La mort est une valeur invariable alors que la douleur est susceptible de croître indéfiniment et le plus grand Miracle de l’Amour de Dieu est de rendre l’impossible possible. Mt 10:28, 31. 

                                                                                                 Parole d'un chrétien

 

ART N°61 : LA RÉSURRECTION / LA RANÇON

La Résurrection

La Résurrection évoque l’abandon d’un état ancien pour un état nouveau, la renaissance. Pour se faire, cela nécessite effort, abnégation, dépassement de soi, ce qui implique vaincre ses peurs, son égoïsme. Pour espérer revivre de ses cendres, renaître, la principale épreuve, le renoncement de soi, le Sacrifice qui conduit : Mt 16:24.

Les Écritures hébraïques n’ont jamais fait entrevoir une récompense d’une vie céleste aux juifs fidèles. Elles annonçaient plutôt la restauration du Paradis ici bas.

L’un des malfaiteurs pendus en Lc 23:39-43, a exprimé l’espoir que Jésus se souviendrait de lui lorsque ce temps arriverait. La Bible ne confirme pas l’idée selon laquelle Jésus et le malfaiteur sont allés au ciel plusieurs jours après.

Jésus avait annoncé qu’il ne serait pas relevé avant le troisième jour qui suivrait son exécution.      Lc 9:22. 

Dans l’intervalle, il n’est pas allé au ciel, car, s’adressant à Marie de Magdala après sa résurrection, il déclarait : « Jn 20:17 ».

C’est seulement 40 jours après sa résurrection que ses disciples l’ont vu s’élever et disparaître alors qu’Il commençait son ascension vers le ciel. Ac 1:3, 6-11.

Le malfaiteur n’a jamais rempli les conditions requises pour aller au ciel. Il n’était pas « né de nouveau né », il n’avait pas été baptisé dans l’eau ni engendré de l’Esprit Saint de Dieu ; cet Esprit n’a d’ailleurs été répandu sur les disciples de Jésus qu’au 50^eme  jour, jour de la Pentecôte après l’exécution du malfaiteur. Lc 22:28-30 ; Jn 3:1-7 ; Ac 2:1-12.

Seule Résurrection Celle de Christ Jésus (1P 3:18 ; 1Cor 15:3-8, 21-23, 44-58). 

Jésus fait aussi savoir à ses fidèles disciples, qu'ils seront eux rassemblés auprès de Lui au ciel au moment voulu (Jn 14:2-3 ; Lc 12:32 ; Ap 14:1). 

En revanche la grande majorité des humains fidèles en Christ Jésus, à la perspective d'être ressuscité pour vivre dans un Splendide et Merveilleux Paradis Terrestre. Jn 5:28-29. Is 25:6-9.     Ap 21:1-4.

Seul Jésus Est Allé au Ciel ?

Hénoch et Élie (Gn 5:24. Hé 11:5. 2R 2:11).

 

Comme pour le malfaiteur, ils ne sont allés au ciel (Ap 4:4 ; 7:3-4 ; 14:1, 3-5).

 

                     Celui qui n’est pas prêt à renaître, il est prêt à mourir.                                         Mt 5:19-20 ; Gal 1:10-12 ; Jc 2:14, 26 ; 1Cor 15:58.

La Rançon

Le terme hébreu, kôpher, s’emploie au sens propre de paiement pour la vie d’un coupable   (Nb 35:31 ; Pv 6:34-35).

 

Au sens figuré (Pv 13:8 ; 21:18 ; Jb 33:23-24 ; Is 43:3), la racine de ce mot doit avoir le sens de couvrir ou d’effacer.

 

Le grec Iutron n’apparaît que dans la déclaration capitale de Jésus : Mc 10:45 (Mt 20:28), dont s’inspire l’apôtre Paul en employant le nom composé antilutron 1Tm 2:5-7, de la même famille lutrôsis, lutrousthaï, les perspectives de la rédemption, expiation, rachat, sacrifice…

 

Au commencement, plus exactement en Éden, Adam et Éve en plus d’avoir des relations privilégiées avec le Créateur, le Tout Puissant, l’Éternel, ils avaient la possibilité de vivre une vie parfaite et éternelle au milieu d’un jardin prolifique et mirifique. Gn 1:28-30 ; 2:16-17.

 

Malgré toutes les plus belles qualités remarquables et parfaites de Dieu : Son Amour, Sa Sagesse, Sa Justice et Sa Puissance, leur désobéissance les a condamné à perdre leur vie parfaite pour une vie de mortelle et imparfaite avec toutes les conséquences d’une suite logique.                     Gn 3:16-19 ; Ps 49:7-10. Rm 5:12 ; 1Tm 2:3-7.

 

Pour l’amour de l’homme, Dieu le Père décida de racheter à prix fort la désobéissance d’Adam. La Rançon allait être le prix par lequel Yahwé Dieu délivra l’humanité du péché qui conduit à la mort et ce prix se fera au travers du Sacrifice de la mort de Son Fils, le Bien Aimé, Notre Seigneur et Sauveur Christ Jésus. Rm 5:19 ; 1Cor 15:21-22 ; Col 1:13-20 ;  Ép1:7-14 ; 1Jn1:8-10.

Avant tout, Il enseignait la Bonne Nouvelle du Royaume Céleste qui dominera la terre entière ainsi des bienfaits infinis apportés aux humains humbles et fidèles aux Commandements de Dieu.       Mt 4:23-25 ; Jn 7:14-18.

Il enseignait partout où Il pouvait, à partir du moment qu’une oreille l’écoutait, car telle était la Volonté de Son Père. Mc 6:56 ; Lc 19:1-10 ; Jn 8:28-29.

En même temps, Il était frappé d’une compassion viscérale qu’Il ressentait au travers les souffrances de chacune des âmes qui venaient l’écouter. Mt 9:36-38 ; 1P 2:20-25.

La veille de sa mort c’est avec une solitude profonde et touchante qu’il prolongea la nuit, une calme détermination qu’il officia le Repas Pascal en la présence de ses disciples (Mt 26:26-28).   En ces instants que nul ne soupçonnait, c’est là que se jouait le drame de la rédemption, là que l’Agneau de Dieu livra sa Vie en Rançon, et c’est aussi là le plus beau Don que Dieu ait donné à l’humanité, le Sacrifice de Son Fils Rédempteur. Mt 20:28 ; Ga 2:20.

Parole d'un chrétien

ART N°60 : LE SACRIFICE DE JÉSUS

La Crucifixion

La Bible ne déclare pas explicitement quel jour de la semaine Jésus a été crucifié. Mais la majorité des chrétiens pensent qu’il s’agit bel est bien du vendredi, en revanche pour d’autres il s’agirait du jeudi, voir même du mercredi. Et pourtant, l’argument principal en faveur du vendredi semble évident : Mc 15:25, 42.

 

Quant à l’heure de sa crucifixion, les juifs et les romains utilisaient des méthodes différentes. Les juifs comptaient les 12 heures du jour à partir du lever du soleil et comptaient 12 heures de la nuit à partir du coucher du soleil, alors que les romains comptaient les 12 heures à partir de minuit et comptaient 12 heures à partir de midi comme c’est la norme aujourd’hui.

 

L’Apôtre Jean utilisait le procédé romain (Jn 19:14). En commençant à compter les heures à partir de minuit : 6 heures du matin, la sixième heure, l’heure à laquelle le gouverneur (préfet) romain Ponce Pilate condamne Jésus. 

 

Alors que pour les juifs c’était à partir de 3 heures au lever du soleil (Mc15:25).   

Il écrit : « Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième heure, il y eut les ténèbres sur toute la terre » (Mt 27:45 ; Mc 15:33 ; Lc 23:44). À la troisième heure Jésus était crucifié. La crucifixion commença à 9 heures après le lever du soleil. Nous pouvons conclure que le procès de Jésus c’est terminé aux alentours de 6 heures du matin (Mt 27:1-2, 27-31), qu’à 3 heures plus tard, à 9 heures, Il est crucifié, et qu’au bout de 6 heures de supplice, Il rendit l’âme aux alentours de 15 heures de l’après-midi avant la veille du Shabbat. 

 

Quoi qu’il en soit, le simple fait de savoir que notre Seigneur ait enduré un tel supplice durant toute cette période devrait nous amener à méditer plus encore à cet acte philanthropique.

 

Jésus Christ fut-il enterré 3 jours entiers ?

 

Il est écrit en « Mt 12:40 ».

 

Dans la pensée juive du Ier siècle, la moitié d’un jour était considérée comme un jour entier. Si Jésus a passé une partie du vendredi, un jour complet le samedi et une autre partie du dimanche dans le tombeau. 

 

Dans le code du travail en effet, toute journée commencée est due par l'employeur. En cas d'accident du travail ou de trajet : Le jour de l'accident du travail ou de trajet est toujours pris en charge par l'employeur, même si le salarié n'a pas débuté sa journée de travail. Pareillement en cas d’hospitalisation le forfait hospitalier est compté comme étant une journée due quelque soit l’enregistrement de l’heure d’entrée et de sortie du patient.

 

Certaines traductions il est écrit « troisième jour » d’autres: « trois jours après ». On peut donc considérer, après réflexion, que Jésus a passé trois jours dans le tombeau. Mc 8:31 ; Mt 16:21 ;    Lc 9:22.  

Parole d'un chrétien

ART N°59 : LA PENTECÔTE

PENTECÔTE

À l’origine cette fête célébrait la sortie d’Égypte du peuple hébreu. Le terme Pentecôte vient du grec ancien : ‘’Pentêkostê Hermera’’, en hébreu : ‘’Shavuot’’ qui signifie, le cinquantième jour à compter du 16 nisan, jour où on offrait la gerbe de blé durant la fête des semaines, également appelée la fête de la moisson et le jour des premiers fruits murs. Lv 23:15-16*...

C'est au jour de la Pentecôte que Jésus répandit l'Esprit Saint sur le groupe de disciples. Ac 2:1-4, jour de sa résurrection (dimanche), le jour ou les grands prêtres offraient la gerbe de blé.               Hé 7:26-28.

Les disciples devinrent la nouvelle nation spirituelle de Dieu étant comparés aux prémices du blé, les premiers fruits murs.1Cor 15:23 ; Jc 1:16-18 ; 1P2:9-10.

40 jours après sa résurrection en un certain lieu (Au Mont des Oliviers) et en la présence de ces disciples, Jésus Christ s'éleva et une nuée le déroba. Ac 1:1-14 ; 2:29-36.

Lisons ce que produit l’Esprit : « Ga 5:22-26 ».

Pour info : Mot *Oblation = Offrande faite à Dieu / *Libation = Action de répandre un liquide en offrande à Dieu, lors d’un sacrifice. 

Parole d'un chrétien