19.9.25

ART N°75 : DÉESSE MÈRE CÉLESTE ?


Suite de l’Art n°14 (Mère de Jésus)

Comme il est difficile de rétablir la vérité, quand la mystification est enracinée.    

Extrait des Prières à la Déesse Mère Céleste 

Je commencerai à dire : « Se tromper est humain, persévérer c’est diabolique et le Diable trouvera toujours ceux qui se laissent tromper ».

Alors, qu’est-ce vous n’avez pas compris en : Ex 20:1-5. Jn 1:1-2 Col 1:15-17 Jn 14:6 ; Hé 1:1-9 ?

Pour info, voyez par vous-mêmes !

Réciter le chapelet est une pratique approuvée par bien de Papes, et par Marie elle-même lors de ses apparitions à Fatima, au Portugal, en 1917. Notre mère Céleste est médiatrice et initiatrice pour qu’on puisse atteindre le salut de nos âmes, pour mieux comprendre les mystères et nous soucier des autres avec un cœur compatissant dans le respect d’une bonne évangélisation.


Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.


Ô Mère, aide notre foi ! Ouvre notre écoute à la Parole, pour que nous reconnaissions la voix de Dieu et son appel. Éveille en nous le désir de suivre ses pas, en sortant de notre terre et en accueillant sa promesse. Aide-nous à nous laisser toucher par son amour, pour que nous puissions le toucher par la foi. Aide-nous à nous confier pleinement à lui, à croire en son amour, surtout dans les moments de tribulations et de croix, quand notre foi est appelée à mûrir. Sème dans notre foi la joie du Ressuscité. Rappelle-nous que celui qui croit n’est jamais seul. Enseigne-nous à regarder avec les yeux de Jésus, pour qu’il soit lumière sur notre chemin. Et que cette lumière de la foi grandisse toujours en nous jusqu’à ce qu’arrive ce jour sans couchant, qui est le Christ lui-même, ton Fils, notre Seigneur ! 


               Pape François, prière à Marie, Mère de l’Église et mère de notre foi, en conclusion                                                                                            de l’encyclique Lumen Fidei, 29 juin 201

- Je vous salue, Marie, fille de Dieu le Père, je vous salue, Marie, mère de Dieu le Fils, je vous salue, Marie, épouse du Saint-Esprit. Je vous salue, Marie, temple de toute la Divinité. Je vous salue, Marie, lys blanc de la resplendissante et toujours immuable Trinité. Je vous salue, Marie, rose éclatante d’un charme céleste. Je vous salue, Marie, Vierge des vierges, Vierge fidèle dont le Roi des cieux a voulu naître, et dont il a daigné être nourri. 

Je vous salue, Marie, reine des martyrs, dont l’âme a été transpercée d’un glaive de douleur. Je vous salue, Marie, souveraine de l’univers, à qui toute puissance a été donnée au ciel et sur la terre. Je vous salue, Marie, reine de mon cœur, ma mère, ma vie, ma joie et mon espérance très chère. Je vous salue, Marie, mère aimable. Je vous salue, Marie, mère admirable. Je vous salue, Marie, mère de miséricorde.


Remplis ma bouche, ô Marie, de la grâce de ta douceur. Éclaire mon intelligence, toi qui as été comblée de la faveur de Dieu. Alors ma langue et mes lèvres chanteront allègrement tes louanges et plus particulièrement la salutation angélique, annonciatrice du salut du monde, remède et protection de tous les hommes. Daigne donc accepter que moi, ton petit serviteur, je te loue et te dise et redise doucement : « Réjouis-toi, Marie, comblée de grâces. »


Saint éphrem, v. 306-373


Ô Marie, obtiens-nous la consolation profonde qui nous permet d’aimer, même au cœur de la nuit de la foi et de l’espérance et quand il semble que nous ne voyons même plus le visage de nos frères !


- Ô Marie, tu nous enseignes que l’apostolat, la proclamation de l’Évangile, le service pastoral ont un prix, que cela coûte « cher ». Donne-nous l’intime consolation de la vie qui accepte de payer volontiers, en union avec le cœur du Christ, ce prix du salut. Fais que notre petite semence accepte de mourir pour porter beaucoup de fruits.

 

Cardinal Carlo Maria Martini, archevêque de Milan de 1980 à 2002

Salut, étoile de la mer, sainte Mère de Dieu, toi, toujours vierge, bienheureuse porte du ciel... Brise les chaînes des pécheurs, rends la lumière aux aveugles, délivre-nous de nos misères, obtiens pour nous les vrais biens. Montre-nous que tu es mère, et que le Christ par toi accueille nos prières lui qui, né pour nous, accepta d’être ton fils. Vierge sans pareille et douce entre toutes, obtiens le pardon de nos fautes, rends nos cœurs humbles et purs. Accorde-nous une vie sainte, rends sûre notre route pour que, contemplant Jésus, nous partagions sans fin ta joie.

Hymne latine du Xsiècle

Dans ses apparitions de Lourdes et de Fatima, la Vierge Marie insiste par ses messages répétés de prier pour les pécheurs, et pour ceux et celles qui sont loin de l’Église et surtout de Fils Jésus. Elle nous ouvre les yeux sur le souci des autres. Elle nous invite à aller vers l’autre et ne pas nous centrer sur nous-mêmes. Elle nous aide à comprendre l’infinité de la miséricorde divine et les mystères. La dévotion mariale nous rend plus aimables et plus compatissants envers les autres qui est un aspect important à prendre en considération dans la démarche d’évangélisation. Comment désirons-nous rapprocher nos semblables du Christ si nous présentons un visage fermé ou nous n’avons pas envie de nous adresser la parole ? 

 

Que disent les Papes sur le Rosaire ?

 

En voici quelques témoignages : « Le Rosaire est la prière du chrétien qui avance sur le chemin de la foi à la suite de Jésus, précédé de la Vierge Marie. »

 

Pape Benoît XVI : « Le Rosaire m’a accompagné dans mes moments de joie et d’adversité, et je lui ai confié de nombreux intérêts, et j’y ai toujours trouvé un appui. Les événements réunis dans les mystères de la joie et de la douleur, de la gloire et de la lumière, nous font entrer dans une relation vivante avec Jésus à travers le cœur de Marie, sa mère !

 

Pape Jean-Paul II : « Le chapelet rose est l'école de la prière et de la foi. »

 

Pape François : « Le Rosaire est une prière simple et facile qui m'aide à redevenir enfant, et je n'en ai pas honte ! »

 

Pape Jean-Paul Ier : « Le Saint Rosaire est la gloire de l'Église catholique romaine, prenant son rang immédiatement après la Divine Liturgie et les Sacrements. »

 

Pape Jean 23 : « Le Rosaire, par sa série de litanies répétées et contemplatives, nous fortifie dans l'espérance, nous confirme dans le Christ, et nous obtient la patience, la paix et la joie du ciel. »

 

Pape Paul VI : « Donnez-moi une armée qui prie le Rosaire, et je conquerai le monde avec elle. »

 

Pape Pie X : « Dites aux prêtres de prier beaucoup, dites-leur que le pape prie son chapelet tous les jours et qu'il considère que les jours où il ne prie pas son chapelet n'ont aucune valeur. »

 

Pape Pie XI : « Le Rosaire est la plus belle prière et la plus riche en bénédictions, parmi toutes les prières. C'est la prière la plus capable de toucher le cœur de la Mère de Dieu. Si vous désirez que la paix règne dans vos familles, priez le chapelet collectif. »

 

Pape Pie V : « Le Rosaire est le moyen le plus étonnant et le plus puissant pour détruire le péché et restaurer la grâce divine. »

 

Son Origine ?

 

Au Proche Orient, la congrégation des sœurs du Rosaire est le bras droit du Patriarcat latin dans ses écoles, paroisses et institutions. La fondatrice a été béatifiée en 2009, (son nom de baptême est Sultaneh, son nom de religieuse est Marie Alphonsine).

 

Une fondation qui est le bras droit du patriarcat latin.

Le Seigneur est admirable en ses saints. Ils obtiennent grâce à ses yeux à la mesure de leur attente et de leur amour. Pendant qu'elle était soeur de Saint Joseph, Marie-Alphonsine fut gratifiée de visions répétées de Notre-Dame, lui demandant de fonder pour les filles de son pays une congrégation qui prendrait le nom de "sœurs du Rosaire "

Elle lui indiqua même son directeur spirituel, le Père Joseph Tannous, alors Chancelier du Patriarcat latin. [...] Depuis la rencontre spirituelle entre le Père Joseph Tannous et Mère Marie-Alphonsine, la Congrégation du Rosaire est et sera toujours le bras droit du Patriarcat latin dans ses écoles, paroisses et institutions.

Après la récitation de l'angélus au Vatican, le Pape a rappelé que le 22 novembre 2009 à Nazareth a eu lieu la béatification de sœur Marie-Alphonsine Danil Ghattas, née à Jérusalem en 1843 dans une famille chrétienne de dix-neuf enfants. 

 

Source : Encyclopédie Mariale

 

"Le mérite lui revient a dit le Saint-Père d'avoir fondé une congrégation formée seulement de femmes du lieu dans le but d'un enseignement religieux, pour vaincre l'analphabétisme et élever la condition des femmes de cette époque sur la terre où Jésus lui-même en a exalté la dignité... La béatification de cette belle figure de femme est d'un réconfort particulier pour la communauté catholique en Terre Sainte et une invitation à toujours se confier, avec une ferme espérance, à la divine providence et à la protection maternelle de Marie".

  

                                                   Source : Béatification à Jérusalem - VIS 091123 220

 

Mère Marie Alphonsine Danil Ghattas, première bienheureuse de Terre Sainte


"La Congrégation des sœurs du Rosaire est une institution éducative en premier lieu mais elle s'engage dans d'autres domaines sociaux, comme le travail dans les hôpitaux, les dispensaires, les asiles de vieillards, les orphelinats et l'hôtellerie pour les pèlerins."           

 

 Radio Vatican

 

Citation d’Arnold Gehlen : « Est diabolique celui qui instaure le règne du mensonge et contraint d’autres humains à y demeurer. Cela va plus loin que la flétrissure d’une relégation spirituelle, on instaure là le règne du monde à l’envers, où l’Antéchrist porte le masque du Rédempteur, comme dans la fresque de Signorelli sur les murs d’Orvieto. Le diable n’est pas celui qui tue, il est Diabolos, le calomniateur, il est le dieu pour qui le mensonge n’est pas pleutrerie (lâcheté), comme il l’est chez l’homme, mais pouvoir souverain. Il fait crouler le dernier orifice laissé au désespoir, la connaissance, il institue l’empire de l’insane (absurde), car il faut être dément pour faire du mensonge sa demeure. »

 

Je réitère donc ma question : que n’avez-vous pas compris en : Ex 20:1-5.      Jn 1:1-2 Col 1:15-17 Jn 14:6 ; Hé 1:1-9 ? 


Et celui qui à des oreilles, qu’il entende : Apo 2:21-23, 25-29.


Parole d’un chrétien