15.3.24

ART N° 9 - PARABOLES ET DIVERS QUESTIONS BIBLIQUES




QUELLES SONT VOS RÉPONSES ?


(Pour une étude approfondie chaque réponse doit-être accompagnée de références Bibliques)

Selon ce qui est écrit en : Mt 24:40-41 ; Jn 15:13.                                                 

1) Imaginez un instant qu’à la veille du jour de l’Enlèvement, le Messager de l'Éternel vient à vous et vous dit : « Serais tu prêt de laisser ta place pour le Royaume de Dieu à celui à qui tu as accepté le pardon ? »

2)  Pourquoi Jésus parle t-Il en paraboles ? 

3) En Mt 13:3-924-30 Expliquez point par point la parabole du semeur et du l'ivraie ?

4) En Mt 21:28-31 La réponse de Jésus sur l'autorité que signifie t-elle pour nous ?

5) En Mt 21:33-41 Expliquez qui et qui et les éléments qui composent le vignoble, ainsi que le vignoble lui-même ?

6) En Mt 22:1-14 Même question que la précédente (5)

7) La question du Figuier en Mt 24:32, que devons nous comprendre ?

8) Concernant les 10 vierges, pourquoi 5 étaient sottes en Mt 25:1-13 et quels serviteurs Dieu donnera du surplus aux versets 14-30 et en quoi devons nous veiller ?

9) Que représentent les enfants et les petits chiens et pourquoi la réponse de la femme fut-elle favorable aux oreilles de Jésus Mc 7:24-30, 31-37 ?

10) Comment Caïen aurait pu avoir une descendance, si Éve, sa mère, était la seule femme sur terre ?

11) La Bible mentionne t-elle des femmes prophétesses ? Si oui ! Qui sont-elles ?

12) En Mt 1:16, il est écrit que Joseph fils de Jacob est l'époux de Marie, alors qu'en Gn 50:22-26 il mourut à l'âge de 110 ans ?

13) Au jour et à l'heure de la crucifixion de Jésus, comment compter et expliquer les 3 jours et les 3 nuits passés dans le tombeau en Mt 27:63 ; 28:6 ?

14) Le Lévirat qu'est-ce ?

15) L'Enlèvement aura t-il bien lieu ? Si oui ou non expliquez les raisons ! 

16) Quelle nationalité Abraham avait-il ?

17) En Ap 17:10, les 7 rois mentionnés sont-ils 7 rois consécutifs d'une même nation ou bien 7 rois de nations différentes ?

18) Les chercheurs estiment aujourd'hui 7,77 millions au total le nombre d'espèces animales sur terre. À l'époque antédiluvienne (Av le déluge) avait-il autant d'espèces, si oui, comment elles auraient pu tenir dans l'arche ?

19) Pour quelle raison Dieu ordonnait-il la circoncision ?

20) Les morts peuvent-ils communiquer, nous entendre, nous voir, et nous aider ?

21) Dieu éprouve t-il l'humain ?

22) Marie, mère de Jésus était-elle restée chaste jusqu'à sa mort ?

23) Un jour pour Dieu, est égal à combien de jour pour l'homme ?

24) Comment Dieu considère t-il les sodomites ?

25) Quelle est la vraie raison d'un divorce pour un couple marié pour Dieu ?

26) Quelle tribu parmi les 12 d'Israël Dieu choisit-il pour officier la prêtrise ?

27) Est-il plus important de cultiver la Foi ou la Loi et pourquoi ?

28) Que signifie Alléluia ?

29) De quelle tribu de la nation d'Israël Jésus est-il issu ?

30) Le Baptême d'un nourrisson est-il biblique ?

31) Que signifie le mot Pentecôte et que symbolise t-il ?

32) Quels noms célestes sont attribués à Jésus ?

33) Faut-il prier en direction de la Vierge Marie, si oui ou non expliquez pourquoi ?

34) Faut-il croire à la réincarnation de l'homme, si oui donnez un exemple si non expliquez pourquoi ?

35) La destinée de l'homme est-elle d'avance écrite ?

36) Marie est-elle une immaculée conception ? 

37) La circoncision du prépuce est-elle toujours obligatoire ?  

38) Dieu exige t-il toujours le sacrifice d'animaux ?

39) La femme chrétienne doit-elle se couvrir la tête, si oui en quelle occasion, si non depuis quand ?

40) Le monde git au pouvoir de quel esprit ?

41) Qu'enseigne la Bible sur le concubinage ?

42) Qu'enseigne la Bible sur les idoles ?

43) Adam et Ève ressemblaient-ils aux hommes des cavernes ou des Néanderthalien ?

44) La Loi du Talion est-elle toujours en vigueur ?

45) Où pour la première fois les disciples de Jésus furent appelés Chrétien ?

46) Quelle est la règle d'or ?

47) Que symbolise la Rançon de Jésus ?

48) Par qui et où ont été écrites les Tablettes des Dix Commandements et où ont-elles été placées par la suite ?

48) Doit-on confesser ses péchés obligatoirement auprès d'un prêtre ?

49) Comment résister aux esprits méchants ?

50) Que représente la Tente du Témoignage ? Quelles choses étaient enfermées dans l'Arche et que symbolisent-elles ? 

51) Babylone la Grande que représente-elle et symbolise t-elle aujourd'hui ?

52) Le Libre Arbitre que signifie t-il ?

53 Dieu à t-il toujours interdit la Bigamie et la Polygamie et est-ce toujours actuel ?

54) Le fait que la femme est soumise à son époux est-elle égale à l'homme ?

55) L'Enfer tel qu'il est imaginé existe t-il ?

56) La Bible fut-elle inspirée par l'homme ou par Dieu ?

57) La terre sera t-elle détruite complètement à la fin des temps ?

58) Quels signes prophétiques qui signaleront l'Apocalypse ?

59) Quel autre nom en hébreu signifie le Jour du Repos ? 

60) La nation d'Israël contemporaine est-elle toujours le peuple élu de Dieu ?

61) L'Avortement serait-il un péché pour Dieu ?

62) Quel descendant de Noé est l'ancêtre du peuple noir ?

63) Quelle est l'origine du mot Baptême et quelle est sa signification ?

64 Pourquoi existe t-il différentes langues et de couleurs de peau ?

65) Quelle est la Volonté de Dieu ?

66) Dieu à t-il un Nom, si oui, lequel est-ce et que signifie t-il ?

67) À l'origine que signifiait la Pâque et que symbolisait-elle ?

68) La Bible fait-elle allusion à une vie extraterrestre ?

69) Combien de temps le peuple hébreu erra dans le désert lors de son exode ?

70) Les Prières peuvent-elles être exaucées par des Saints ?

71) Marie, la mère de Jésus exauce t-elle les prières et guérir tout mal ?

72) La Montagne de Méguiddo dans la Bible en quoi fait-elle allusion  ?

73) Qui de Samson et de Hercule est un mythe pour les chrétiens ?

74) Les 4 cavaliers de l'Apocalypse qui sont-ils et quel est leur mission ?

75) En combien de temps Noé construisit l'Arche et posa le pied sur le sol après le déluge  ?

ART N° 8 - BLASPHEME



La répression du blasphème


En droit français, il n'existe aucune incrimination punissant le blasphème, c'est-à-dire aucune infraction sanctionnant les atteintes aux divinités, dogmes, croyances ou symboles religieux.

Une exception doit néanmoins être mentionnée : il existe une infraction spécifique applicable en Alsace-Moselle, héritée du Code pénal allemand de 1871, punissant le blasphème. Dans une réponse à une question parlementaire de 2006, le ministère de l'Intérieur avait traduit l'infraction prévue à l'article 166 de ce Code en ces termes : « l'article 166 dispose que « celui qui aura causé un scandale en blasphémant publiquement contre Dieu par des propos outrageants, ou aura publiquement outragé un des cultes chrétiens ou une communauté religieuse établie sur le territoire de la Confédération et reconnue comme corporation, ou les institutions ou cérémonies de ces cultes, ou qui, dans une église ou un autre lieu consacré à des assemblées religieuses, aura commis des actes injurieux et scandaleux, sera puni d'un emprisonnement de trois ans au plus » 14 ( * ) . Cette disposition semble néanmoins tombée en désuétude et les représentants de différents cultes ont récemment proposé de l'abroger.

Du fait de l'absence de répression du blasphème en droit français, les croyances, les symboles et les dogmes religieux ne sont pas protégés contre une expression critique, même extrêmement féroce, en France. Toutefois, il ne faut pas en déduire pour autant que les croyants ne sont pas protégés contre les publications ou propos qui pourraient leur porter atteinte, puisque certaines infractions punissent, non pas les atteintes aux croyances, mais certaines infractions commises à l'égard des croyants.

Cette distinction est d'ailleurs reprise par les juridictions françaises qui distinguent le blasphème d'autres infractions de presse. Par exemple, le TGI de Paris a pu affirmer : « en France, société laïque et pluraliste, le respect de toutes les croyances va de pair avec la liberté de critiquer les religions quelles qu'elles soient et avec celle de représenter des sujets ou objets de vénération religieuse ; que le blasphème qui outrage la divinité ou la religion n'y est pas réprimé à la différence de l'injure, dès lors qu'elle constitue une attaque personnelle et directe dirigée contre une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance religieuse » 15 ( * ) . Ainsi, le droit français ne connaît pas d'infractions punissant le blasphème, mais protège néanmoins les croyants de différents types d'attaques.

Il faut d'abord noter que le champ d'application des infractions de presse est défini très largement grâce à la notion de publication. En effet, malgré sa dénomination - loi sur la liberté de la presse - la loi du 29 juillet 1881 a un champ extrêmement large et ne s'applique pas uniquement à la presse au sens strict du terme. Elle s'applique à toutes les « publications », terme qui est entendu très largement. Ainsi, les infractions peuvent être constituées par le biais de publications écrites (ouvrage, article, revue, etc.) mais aussi d'affiches, de chansons, de discours ou propos tenus en public, de films ou encore de dessins et oeuvres d'art de tout genre. Ces infractions sont en outre étendues aux moyens de communication audiovisuels et aux moyens de communication au public par voie électronique. Ainsi, les infractions prévues par la loi de 1881 punissent de manière générale les excès de la liberté d'expression, qu'ils soient le fait des médias professionnels ou non.

Les comportements qui sont réprimés par la loi du 29 juillet 1881 peuvent être commis à l'égard des croyants. Dans ce cas, la peine encourue par l'auteur de l'infraction (le directeur de publication) ou son complice (l'auteur des propos, du dessin, de l'article...) est souvent aggravée car la publication a été commise envers ces personnes « à raison de leur appartenance à une religion ».

Les infractions les plus mobilisées par les croyants qui se sentent offensés par une publication ou des propos, sont les suivantes :

- la diffamation est définie par la loi du 29 juillet 1881 comme « toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation » (article 29). La diffamation commise envers les particuliers est punie d'une amende de 12 000 euros. La diffamation commise envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée est quant à elle punie d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ou de l'une de ces deux peines seulement. (article 32 al. 1 et 2). La diffamation est applicable lorsqu'un écrit ou propos (ou toute autre forme d'expression) contient une imputation diffamatoire -c'est-à-dire l'imputation d'un fait précis - qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération d'une personne déterminée. Elle est aggravée lorsqu'elle est portée en raison de l'appartenance d'une personne à une religion, mais la simple mise en cause d'une religion ou d'une croyance ne constitue pas le délit 16 ( * ) 

- l'injure est définie comme « toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait » (article 29). L'injure commise envers les particuliers est punie d'une amende de 12 000 euros, et de six mois d'emprisonnement et de 22 500 euros d'amende lorsqu'elle vise une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée (article 33 al. 2 et 3). 

À la différence de la diffamation, les injures sont des écrits ou propos qui n'imputent pas à une personne de fait précis, mais sont simplement outrageants ou méprisants. Il ne peut donc y avoir de débat contradictoire sur les faits imputés. Comme pour la diffamation, les croyances religieuses ne sont pas protégées par l'infraction aggravée. Des propos injurieux à l'égard d'une religion ne sont donc pas sanctionnés au titre de l'injure 17 ( * ) ;

- les provocations à la discrimination, à la haine ou à la violence sont définies par la loi de 1881 en ces termes : « Ceux qui [...] auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ou de l'une de ces deux peines seulement » (article 24 Loi de 1881). Ces provocations dites subjectives ne permettent pas de sanctionner des opinions, matérialisées par des écrits ou propos, hostiles à l'égard des religions ou croyances, mais seulement l'expression qui appelle, provoque ou exhorte à commettre des actes de discrimination, violences ou haine à l'égard des croyants 18 ( * ) .

Ces infractions existent ainsi lorsqu'elles sont commises à l'égard de tout individu 19 ( * ) , mais la loi de 1881 renforce la répression lorsqu'elles sont commises en raison de l'appartenance ou non à une ethnie, une nation, une race ou religion. Le législateur a donc ajouté des circonstances aggravantes (pour l'injure et la diffamation) ou créé une infraction spécifique (provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence en raison de l'appartenance...). Toutefois, ces infractions sont parfois assimilées à tort au blasphème. En effet, elles ne visent pas à protéger les croyances, les divinités ou les symboles religieux, mais bel et bien les croyants.

Cette différence entre les atteintes aux croyances et les atteintes aux croyants, ou, dit autrement, entre les infractions de presse (réprimées) et le blasphème (qui ne l'est pas en France) est fondamentale pour comprendre le système répressif français et ainsi organiser la comparaison avec des systèmes étrangers. Schématiquement, il est possible de critiquer fermement, même avec des propos très virulents ou injurieux, une religion alors que les croyants sont protégés par les infractions listées auparavant.

Galaxie Sénat

Alors que le blasphème est synonyme à l’injure et à l’outrage, le droit français permet à quiconque de blasphémer ce qu’il y a de plus Sacré dans la vie d’un croyant, autrement dit, de blasphémer la foi de millions de croyants ainsi que Le Divin Créateur en tout impunité, 

 

Le dictionnaire des synonymes défini le Sacré de la manière suivante : ce qui appartient à un domaine interdit et inviolable faisant l’objet d’une vénération religieuse, digne d’un respect absolu. En revanche les Articles 433-5 ; 433-5-1et 225-17 du code pénal considèrent d’outrageant (blasphématoire) les offenses faites à l’encontre d’un agent dépositaire de l’autorité public, sanctionne l’outrage envers l’hymne national ou le drapeau tricolore, également toute profanation des sépultures. Pour info, si le mot profanation est synonyme au sacrilège, il est aussi synonyme au blasphème. 

 

Ce droit au blasphème qui ne vise pas à protéger les croyances, les divinités ou les symboles religieux, mais seulement les croyants comme il est précisé, n’est pas seulement inique mais également discriminatoire, parce qu’il est en contradiction avec l’article 1er de la Constitution qui affirme que la France est une République indivisible et laïque. 

 

Par conséquent, si la nature de cette loi fait non-sens pour le croyant par sa partialité d’affection ou d’esprit de corps, elle ne peut pas être crédible et prétendre avoir une bienveillance égale pour tous !

 

La Bible enseigne : « Mt 12:31-32 1Cor 6:12 ; Os 8:7». 

 

Parole d’un chrétien