15.3.24

ART N° 9 - PARABOLES ET DIVERS QUESTIONS BIBLIQUES




QUELLES SONT VOS RÉPONSES ?


(Pour une étude approfondie chaque réponse doit-être accompagnée de références Bibliques)

Selon ce qui est écrit en : Mt 24:40-41 ; Jn 15:13.                                                 

1) Imaginez un instant qu’à la veille du jour de l’Enlèvement, le Messager de l'Éternel vient à vous et vous dit : « Serais tu prêt de laisser ta place pour le Royaume de Dieu à celui à qui tu as accepté le pardon ? »

2)  Pourquoi Jésus parle t-Il en paraboles ? 

3) En Mt 13:3-924-30 Expliquez point par point la parabole du semeur et du l'ivraie ?

4) En Mt 21:28-31 La réponse de Jésus sur l'autorité que signifie t-elle pour nous ?

5) En Mt 21:33-41 Expliquez qui et qui et les éléments qui composent le vignoble, ainsi que le vignoble lui-même ?

6) En Mt 22:1-14 Même question que la précédente (5)

7) La question du Figuier en Mt 24:32, que devons nous comprendre ?

8) Concernant les 10 vierges, pourquoi 5 étaient sottes en Mt 25:1-13 et quels serviteurs Dieu donnera du surplus aux versets 14-30 et en quoi devons nous veiller ?

9) Que représentent les enfants et les petits chiens et pourquoi la réponse de la femme fut-elle favorable aux oreilles de Jésus Mc 7:24-30, 31-37 ?

10) Comment Caïen aurait pu avoir une descendance, si Éve, sa mère, était la seule femme sur terre ?

11) La Bible mentionne t-elle des femmes prophétesses ? Si oui ! Qui sont-elles ?

12) En Mt 1:16, il est écrit que Joseph fils de Jacob est l'époux de Marie, alors qu'en Gn 50:22-26 il mourut à l'âge de 110 ans ?

13) Au jour et à l'heure de la crucifixion de Jésus, comment compter et expliquer les 3 jours et les 3 nuits passés dans le tombeau en Mt 27:63 ; 28:6 ?

14) Le Lévirat qu'est-ce ?

15) L'Enlèvement aura t-il bien lieu ? Si oui ou non expliquez les raisons ! 

16) Quelle nationalité Abraham avait-il ?

17) En Ap 17:10, les 7 rois mentionnés sont-ils 7 rois consécutifs d'une même nation ou bien 7 rois de nations différentes ?

18) Les chercheurs estiment aujourd'hui 7,77 millions au total le nombre d'espèces animales sur terre. À l'époque antédiluvienne (Av le déluge) avait-il autant d'espèces, si oui, comment elles auraient pu tenir dans l'arche ?

19) Pour quelle raison Dieu ordonnait-il la circoncision ?

20) Les morts peuvent-ils communiquer, nous entendre, nous voir, et nous aider ?

21) Dieu éprouve t-il l'humain ?

22) Marie, mère de Jésus était-elle restée chaste jusqu'à sa mort ?

23) Un jour pour Dieu, est égal à combien de jour pour l'homme ?

24) Comment Dieu considère t-il les sodomites ?

25) Quelle est la vraie raison d'un divorce pour un couple marié pour Dieu ?

26) Quelle tribu parmi les 12 d'Israël Dieu choisit-il pour officier la prêtrise ?

27) Est-il plus important de cultiver la Foi ou la Loi et pourquoi ?

28) Que signifie Alléluia ?

29) De quelle tribu de la nation d'Israël Jésus est-il issu ?

30) Le Baptême d'un nourrisson est-il biblique ?

31) Que signifie le mot Pentecôte et que symbolise t-il ?

32) Quels noms célestes sont attribués à Jésus ?

33) Faut-il prier en direction de la Vierge Marie, si oui ou non expliquez pourquoi ?

34) Faut-il croire à la réincarnation de l'homme, si oui donnez un exemple si non expliquez pourquoi ?

35) La destinée de l'homme est-elle d'avance écrite ?

36) Marie est-elle une immaculée conception ? 

37) La circoncision du prépuce est-elle toujours obligatoire ?  

38) Dieu exige t-il toujours le sacrifice d'animaux ?

39) La femme chrétienne doit-elle se couvrir la tête, si oui en quelle occasion, si non depuis quand ?

40) Le monde git au pouvoir de quel esprit ?

41) Qu'enseigne la Bible sur le concubinage ?

42) Qu'enseigne la Bible sur les idoles ?

43) Adam et Ève ressemblaient-ils aux hommes des cavernes ou des Néanderthalien ?

44) La Loi du Talion est-elle toujours en vigueur ?

45) Où pour la première fois les disciples de Jésus furent appelés Chrétien ?

46) Quelle est la règle d'or ?

47) Que symbolise la Rançon de Jésus ?

48) Par qui et où ont été écrites les Tablettes des Dix Commandements et où ont-elles été placées par la suite ?

48) Doit-on confesser ses péchés obligatoirement auprès d'un prêtre ?

49) Comment résister aux esprits méchants ?

50) Que représente la Tente du Témoignage ? Quelles choses étaient enfermées dans l'Arche et que symbolisent-elles ? 

51) Babylone la Grande que représente-elle et symbolise t-elle aujourd'hui ?

52) Le Libre Arbitre que signifie t-il ?

53 Dieu à t-il toujours interdit la Bigamie et la Polygamie et est-ce toujours actuel ?

54) Le fait que la femme est soumise à son époux est-elle égale à l'homme ?

55) L'Enfer tel qu'il est imaginé existe t-il ?

56) La Bible fut-elle inspirée par l'homme ou par Dieu ?

57) La terre sera t-elle détruite complètement à la fin des temps ?

58) Quels signes prophétiques qui signaleront l'Apocalypse ?

59) Quel autre nom en hébreu signifie le Jour du Repos ? 

60) La nation d'Israël contemporaine est-elle toujours le peuple élu de Dieu ?

61) L'Avortement serait-il un péché pour Dieu ?

62) Quel descendant de Noé est l'ancêtre du peuple noir ?

63) Quelle est l'origine du mot Baptême et quelle est sa signification ?

64 Pourquoi existe t-il différentes langues et de couleurs de peau ?

65) Quelle est la Volonté de Dieu ?

66) Dieu à t-il un Nom, si oui, lequel est-ce et que signifie t-il ?

67) À l'origine que signifiait la Pâque et que symbolisait-elle ?

68) La Bible fait-elle allusion à une vie extraterrestre ?

69) Combien de temps le peuple hébreu erra dans le désert lors de son exode ?

70) Les Prières peuvent-elles être exaucées par des Saints ?

71) Marie, la mère de Jésus exauce t-elle les prières et guérir tout mal ?

72) La Montagne de Méguiddo dans la Bible en quoi fait-elle allusion  ?

73) Qui de Samson et de Hercule est un mythe pour les chrétiens ?

74) Les 4 cavaliers de l'Apocalypse qui sont-ils et quel est leur mission ?

75) En combien de temps Noé construisit l'Arche et posa le pied sur le sol après le déluge  ?

ART N° 8 - BLASPHEME



La répression du blasphème


En droit français, il n'existe aucune incrimination punissant le blasphème, c'est-à-dire aucune infraction sanctionnant les atteintes aux divinités, dogmes, croyances ou symboles religieux.

Une exception doit néanmoins être mentionnée : il existe une infraction spécifique applicable en Alsace-Moselle, héritée du Code pénal allemand de 1871, punissant le blasphème. Dans une réponse à une question parlementaire de 2006, le ministère de l'Intérieur avait traduit l'infraction prévue à l'article 166 de ce Code en ces termes : « l'article 166 dispose que « celui qui aura causé un scandale en blasphémant publiquement contre Dieu par des propos outrageants, ou aura publiquement outragé un des cultes chrétiens ou une communauté religieuse établie sur le territoire de la Confédération et reconnue comme corporation, ou les institutions ou cérémonies de ces cultes, ou qui, dans une église ou un autre lieu consacré à des assemblées religieuses, aura commis des actes injurieux et scandaleux, sera puni d'un emprisonnement de trois ans au plus » 14 ( * ) . Cette disposition semble néanmoins tombée en désuétude et les représentants de différents cultes ont récemment proposé de l'abroger.

Du fait de l'absence de répression du blasphème en droit français, les croyances, les symboles et les dogmes religieux ne sont pas protégés contre une expression critique, même extrêmement féroce, en France. Toutefois, il ne faut pas en déduire pour autant que les croyants ne sont pas protégés contre les publications ou propos qui pourraient leur porter atteinte, puisque certaines infractions punissent, non pas les atteintes aux croyances, mais certaines infractions commises à l'égard des croyants.

Cette distinction est d'ailleurs reprise par les juridictions françaises qui distinguent le blasphème d'autres infractions de presse. Par exemple, le TGI de Paris a pu affirmer : « en France, société laïque et pluraliste, le respect de toutes les croyances va de pair avec la liberté de critiquer les religions quelles qu'elles soient et avec celle de représenter des sujets ou objets de vénération religieuse ; que le blasphème qui outrage la divinité ou la religion n'y est pas réprimé à la différence de l'injure, dès lors qu'elle constitue une attaque personnelle et directe dirigée contre une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance religieuse » 15 ( * ) . Ainsi, le droit français ne connaît pas d'infractions punissant le blasphème, mais protège néanmoins les croyants de différents types d'attaques.

Il faut d'abord noter que le champ d'application des infractions de presse est défini très largement grâce à la notion de publication. En effet, malgré sa dénomination - loi sur la liberté de la presse - la loi du 29 juillet 1881 a un champ extrêmement large et ne s'applique pas uniquement à la presse au sens strict du terme. Elle s'applique à toutes les « publications », terme qui est entendu très largement. Ainsi, les infractions peuvent être constituées par le biais de publications écrites (ouvrage, article, revue, etc.) mais aussi d'affiches, de chansons, de discours ou propos tenus en public, de films ou encore de dessins et oeuvres d'art de tout genre. Ces infractions sont en outre étendues aux moyens de communication audiovisuels et aux moyens de communication au public par voie électronique. Ainsi, les infractions prévues par la loi de 1881 punissent de manière générale les excès de la liberté d'expression, qu'ils soient le fait des médias professionnels ou non.

Les comportements qui sont réprimés par la loi du 29 juillet 1881 peuvent être commis à l'égard des croyants. Dans ce cas, la peine encourue par l'auteur de l'infraction (le directeur de publication) ou son complice (l'auteur des propos, du dessin, de l'article...) est souvent aggravée car la publication a été commise envers ces personnes « à raison de leur appartenance à une religion ».

Les infractions les plus mobilisées par les croyants qui se sentent offensés par une publication ou des propos, sont les suivantes :

- la diffamation est définie par la loi du 29 juillet 1881 comme « toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation » (article 29). La diffamation commise envers les particuliers est punie d'une amende de 12 000 euros. La diffamation commise envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée est quant à elle punie d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ou de l'une de ces deux peines seulement. (article 32 al. 1 et 2). La diffamation est applicable lorsqu'un écrit ou propos (ou toute autre forme d'expression) contient une imputation diffamatoire -c'est-à-dire l'imputation d'un fait précis - qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération d'une personne déterminée. Elle est aggravée lorsqu'elle est portée en raison de l'appartenance d'une personne à une religion, mais la simple mise en cause d'une religion ou d'une croyance ne constitue pas le délit 16 ( * ) 

- l'injure est définie comme « toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait » (article 29). L'injure commise envers les particuliers est punie d'une amende de 12 000 euros, et de six mois d'emprisonnement et de 22 500 euros d'amende lorsqu'elle vise une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée (article 33 al. 2 et 3). 

À la différence de la diffamation, les injures sont des écrits ou propos qui n'imputent pas à une personne de fait précis, mais sont simplement outrageants ou méprisants. Il ne peut donc y avoir de débat contradictoire sur les faits imputés. Comme pour la diffamation, les croyances religieuses ne sont pas protégées par l'infraction aggravée. Des propos injurieux à l'égard d'une religion ne sont donc pas sanctionnés au titre de l'injure 17 ( * ) ;

- les provocations à la discrimination, à la haine ou à la violence sont définies par la loi de 1881 en ces termes : « Ceux qui [...] auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ou de l'une de ces deux peines seulement » (article 24 Loi de 1881). Ces provocations dites subjectives ne permettent pas de sanctionner des opinions, matérialisées par des écrits ou propos, hostiles à l'égard des religions ou croyances, mais seulement l'expression qui appelle, provoque ou exhorte à commettre des actes de discrimination, violences ou haine à l'égard des croyants 18 ( * ) .

Ces infractions existent ainsi lorsqu'elles sont commises à l'égard de tout individu 19 ( * ) , mais la loi de 1881 renforce la répression lorsqu'elles sont commises en raison de l'appartenance ou non à une ethnie, une nation, une race ou religion. Le législateur a donc ajouté des circonstances aggravantes (pour l'injure et la diffamation) ou créé une infraction spécifique (provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence en raison de l'appartenance...). Toutefois, ces infractions sont parfois assimilées à tort au blasphème. En effet, elles ne visent pas à protéger les croyances, les divinités ou les symboles religieux, mais bel et bien les croyants.

Cette différence entre les atteintes aux croyances et les atteintes aux croyants, ou, dit autrement, entre les infractions de presse (réprimées) et le blasphème (qui ne l'est pas en France) est fondamentale pour comprendre le système répressif français et ainsi organiser la comparaison avec des systèmes étrangers. Schématiquement, il est possible de critiquer fermement, même avec des propos très virulents ou injurieux, une religion alors que les croyants sont protégés par les infractions listées auparavant.

Galaxie Sénat

Alors que le blasphème est synonyme à l’injure et à l’outrage, le droit français permet à quiconque de blasphémer ce qu’il y a de plus Sacré dans la vie d’un croyant, autrement dit, de blasphémer la foi de millions de croyants ainsi que Le Divin Créateur en tout impunité, 

 

Le dictionnaire des synonymes défini le Sacré de la manière suivante : ce qui appartient à un domaine interdit et inviolable faisant l’objet d’une vénération religieuse, digne d’un respect absolu. En revanche les Articles 433-5 ; 433-5-1et 225-17 du code pénal considèrent d’outrageant (blasphématoire) les offenses faites à l’encontre d’un agent dépositaire de l’autorité public, sanctionne l’outrage envers l’hymne national ou le drapeau tricolore, également toute profanation des sépultures. Pour info, si le mot profanation est synonyme au sacrilège, il est aussi synonyme au blasphème. 

 

Ce droit au blasphème qui ne vise pas à protéger les croyances, les divinités ou les symboles religieux, mais seulement les croyants comme il est précisé, n’est pas seulement inique mais également discriminatoire, parce qu’il est en contradiction avec l’article 1er de la Constitution qui affirme que la France est une République indivisible et laïque. 

 

Par conséquent, si la nature de cette loi fait non-sens pour le croyant par sa partialité d’affection ou d’esprit de corps, elle ne peut pas être crédible et prétendre avoir une bienveillance égale pour tous !

 

La Bible enseigne : « Mt 12:31-32 1Cor 6:12 ; Os 8:7». 

 

Parole d’un chrétien

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

16.2.24

ART N° 7 - ZEITGEIST


Suite à cette vidéo / You Tub

"ZEITGEIST"

The Greatest Story Ever T'old

La plus belle histoire jamais contée

"L'Astrothéologie"


A ceci, que répondriez-vous si l'on vous demandez d'expliquer et de prouver l'inerrance de la Parole de Dieu au travers de la Sainte Bible ?

Selon

The Greatest Story Ever Told

La plus belle histoire jamais contée 

‘’l’Astrothéologie’’

 

Le Soleil : l’histoire abonde de gravures et d’écritures remontant jusqu’à 10.000 ans av J-Ch, reflétant le respect et l’adoration des peuples pour cet objet. 

Il est aisé d’en comprendre les raisons, car chaque matin le soleil se lève, apportant visibilité, chaleur et sécurité, sauvant l’homme des ténèbres de la nuit froide sombre et remplie de prédateurs. Sans lui, les civilisations comprirent qu’elles n’auraient pas de récoltes, et que la vie sur la planète ne durerait pas. Ces réalités firent du soleil l’objet le plus admiré de tous les temps. 

Le suivi des mouvements des étoiles leur permettrait d’anticiper des évènements qui se produisaient sur de longues périodes comme les éclipses et les pleines lunes.

Ils cataloguèrent les groupes célestes en ce que nous appelons aujourd’hui des constellations.

La Crois du Zodiaque, l’une des images conceptuelles les plus anciennes de l’histoire de l’humanité. Elle représente le soleil passant figurativement au travers les 12 constellations principales au cours d’une année. Elle représente aussi les 12 mois de l’année, les 4 saisons ainsi que les solstices* et équinoxes**.

*Solstice d'hiver (21 ou 22 décembre). Solstice d'été (21 ou 22 juin) jour le plus court et jour le plus long de l'année dans l'hémisphère nord.

** Équinoxe : Chacune des deux périodes de l'année où le jour a une durée égale à celle de la nuit (parce que le Soleil traverse l'équateur céleste) d'un cercle polaire à l'autre. Équinoxe de printemps (21 mars). Équinoxe d’automne (23 septembre).

 

Le terme Zodiaque fait référence au fait que les constellations étaient anthropomorphes*** ou personnifiées sous forme d’individus ou d’animaux. Les premières civilisations ne suivaient pas seulement le soleil et les étoiles, elles les personnifiées avec des mythes élaborés incorporant leurs mouvements et leurs relations.

 

*** Anthropomorphes : qui a la forme, l'apparence d'un être humain.

 

Le soleil et ses qualités de donneur et de sauveur de vie fut personnifié comme un représentant du Créateur Invisible ou Dieu. 

‘’Le Soleil de Dieu’’, ‘’La Lumière du monde’’, ‘’Le Sauveur de l’espèce humaine’’. De même, les 12 constellations représentèrent des sites de voyage pour le Soleil de Dieu et furent habituellement identifiées selon les évènements naturels observés durant cette période.

Par exemple, le Verseau (Aquarius), le porteur d’eau, qui apporte les pluies du printemps.

Horus, il est le dieu soleil, en Égypte, aux alentours de 3000 ans av J.Ch. Il est la représentation du soleil et sa vie est une série de mythes allégoriques impliquant le mouvement du soleil dans le ciel.

Grâce aux anciens hiéroglyphes d’Égypte nous connaissons bien le Messie Solaire. Par exemple, étant le Soleil ou la Lumière, Horus avait un ennemi nommé Set, la personnification des ténèbres ou de la nuit. Métaphoriquement parlant, chaque matin Horus gagnait la bataille contre Set, alors qu’à la nuit tombante, Set terrassait Horus et l’envoyait en enfer.

Dans les grandes lignes, l’histoire d’Horus est la suivante : Horus naquit le 25 décembre,  fils de la vierge Isis (Marie). Sa naissance fut accompagnée par une étoile à l’Est, et à sa naissance, il fut adoré par 3 rois. À L’âge de 12 ans, il était un enfant prodige et enseignant. À l’âge de 30 ans, il fut baptisé par un personnage nommé Anup et commença alors son ministère. Horus voyageait avec 12 disciples, accomplissant des miracles tels que guérir les malades et marcher sur l’eau.

Horus était connu sous de nombreux noms symboliques comme : ‘La Vérité’, ‘La Lumière’, ‘Le Fils Oint de Dieu’, Le Bon Berger’, L’Agneau de Dieu’, et de bien d’autres noms encore.

Après avoir été trahi par Thyphon, Horus fut crucifié, enterré durant 3 jours, puis il ressuscita. Ses attributs d’Horus, qu’ils soient originaux ou non, semblent s’être diffusés dans de nombreuses cultures, car d’autres dieux présentent cette structure mythologique.

 -       Attis, de Phrygie, né de la vierge Nana un 25 décembre, fut crucifié, placé dans une tombe et après 3 jours, fut ressuscité.

-       Kryshna, Inde, né de la vierge Devaki avec une étoile à l’Est annonçant son arrivée, accomplit des miracles avec ses disciples et après sa mort, fut ressuscité.

 -       Dionysos, de Grèce, né d’une vierge un 25 décembre, fut un enseignant itinérant accomplissant des miracles tels que changer de l’eau en vin. On l’appelait ‘Roi des rois’, ‘L’unique Fils de Dieu’, ‘L’Alpha et Oméga’, et par de nombreux autres noms. Après sa mort, il fut ressuscité.

 

-       Mythra, de Perse, né d’une vierge un 25 décembre 1200 ans av J-Ch, avait 12 disciples, accomplissait des miracles et fut enterré après sa mort durant 3 jours, avant de ressusciter. On l’appelait également : ‘La Vérité’, ‘La Lumière’, entre autres. Il est intéressant de noter que le jour sacré de Mythra était le dimanche. 

 

La Question demeure : pourquoi ces attributs, pourquoi la naissance virginale un 25 décembre, pourquoi la mort de 3 jours avant l’inévitable résurrection, pourquoi 12 disciples ou adeptes ?

 

Pour y répondre, étudions le Messie Solaire le plus récent. Jésus Christ naquit de la vierge Marie le 25 décembre à Bethléem. Sa naissance fut annoncée par une étoile à l’Est, que 3 rois suivirent pour trouver et adorer le Nouveau Sauveur. Il enseignait déjà à l’âge  de 12 ans. À l’âge de 30 ans, il fut baptisé par Jean-Baptiste et commença alors son ministère etc.

 

Tout abord, la séquence natale est entièrement astrologique. L’étoile à l’Est est Sirius, l’étoile la plus brillante dans le ciel, qui le 24 décembre, s’aligne avec les 3 étoiles les plus brillantes de la ceinture d’Orion. Ces 3 étoiles brillantes sont appelées de nos jours de la même façon que dans les temps anciens : ‘les 3 rois’. Les 3 rois et l’étoile la plus brillante, Sirius, pointent toutes dans la direction du levé de soleil le 25 décembre. C’est pourquoi les 3 rois suivent l’étoile à l’Est, pour localiser le lever du soleil : la naissance du soleil.

 

La vierge Marie est la constellation de la vierge connue sous le nom de Virgo. Virgo en latin signifie vierge. Virgo était également appelée la maison du pain, et sa représentation était une vierge portant une gerbe de blé. Cette maison du pain et son symbole du blé représentent Aout et Septembre la saison des récoltes. 

 

À son tour Bethléem se traduit littéralement par ‘Maison du Pain’. Bethléem fait donc référence à la constellation de la vierge, un endroit dans le ciel, et non sur la terre.

 

Il existe un autre phénomène intéressant se déroulant autour du 25 décembre ou du solstice d’hiver, les jours s’écourtent et se refroidissent. Vu de l’hémisphère Nord, le soleil semble s’éloigner vers le Sud et devenir plus petit et faible. Le raccourcissement des jours et l’expiration des récoltes à l’approche du solstice d’hiver symbolisait pour les anciens le processus de mort. C’était la mort du soleil.                            

Au 22 décembre, le déclin du soleil était complet, car le soleil, ayant voyagé vers le Sud continuellement pendant 6 mois, arrive à son point le plus bas dans le ciel.

Un phénomène étrange se produit alors : le soleil semble cesser sa descente vers le Sud pendant 3 jours. Durant cette pause de 3 jours, le soleil se situe à proximité de la constellation de la Croix du Sud, ou constellation de la Croix. Ensuite le 25 décembre, le soleil se décale d’un degré, cette foi-ci vers le Nord, présageant les jours plus long, la chaleur et le printemps.

 

Ainsi fut-il dit : le Fils mourut sur la Croix. Mort durant 3 jours, il ressuscita ou renaquit. C’est pourquoi Jésus et de nombreux autres dieux du soleil partagent le concept de la crucifixion, des 3 jours de mort et de résurrection. C’est la transition du soleil juste avant son changement de direction pour retourner dans l’hémisphère Nord et amener le printemps, donc le Salut. Cependant, ils ne célébraient pas la résurrection du soleil avant l’Équinoxe de printemps, soit Pâque, parce qu’au moment de l’Équinoxe de printemps, le soleil vainc officiellement les ténèbres maléfiques, puisqu’alors les journées deviennent plus longues que la nuit, et que les conditions revitalisantes du printemps émergent.

 

Parmi tous les symboles astrologiques concernant Jésus, le plus évident de tous est celui des 12 disciples. Ils représentent simplement les 12 constellations du Zodiaque, avec qui Jésus, étant le Soleil, voyage. En fait, le nombre 12 est omniprésent dans la Bible. 

 

Pour en revenir à la Croix du Zodiaque, la vie figurative du soleil, celle-ci n’était pas seulement une expression artistique, ou un outil pour suivre les mouvements du soleil. C’était aussi un symbole spirituel païen. C’est pourquoi Jésus est toujours dépeint dans l’art occulte primitif avec la tête sur la Croix, car Jésus est le Soleil, ‘Le Fils de Dieu’, ‘La Lumière du monde’, ‘Le Sauveur ressuscité’, qui va revenir, ainsi qu’il le fait chaque matin. ‘La Gloire de Dieu’, le rempart contre les méfaits des ténèbres, car il va renaître chaque matin. Il peut être vu venant des nuages, du haut des cieux, avec sa couronne d’épines, ou des rayons de Soleil.

 

Parmi les nombreuses métaphores, astrologico-astronomique de la Bible, l’une des plus importantes d’entre-elles concerne les Ères. À travers les Écritures, il y a une multitude de références à l’Ère. 

Afin de comprendre cela, il est nécessaire de se familiariser avec le phénomène appelé Précession des Équinoxes. Les égyptiens, ainsi que les civilisations bien plus anciennes, reconnaissaient qu’environ tous les 2150 ans, le levé du soleil au matin de l’Équinoxe du printemps se déroulait en un signe différent du Zodiaque. Ceci s’explique par un léger déplacement angulaire que la terre maintient lors de sa rotation sur son axe. On le qualifie de Précession, car les constellations reculent au lieu d’avancer comme lors de leur cycle annuel normal. Le temps nécessaire à la Précession pour traverser les 12 signes est d’environs 25765 ans. Cette durée s’appelle aussi la grande année, et les civilisations anciennes en étaient très conscientes. Elles faisaient référence à chaque période de 2150 ans av J-Ch, comme à une Ère. De 4300 av J-Ch à 2150 ans av J-Ch, c’était l’Ère du Taureau. De 2150 ans av J-Ch à l’an après J-Ch, c’était l’Ère des Poissons, Ère dans laquelle nous nous trouvons encore à ce jour. 

 

Vers l’an 2150 nous entrerons dans la nouvelle Ère, l’Ère du Verseau. Dans l’Ancien Testament, quand Moïse descend du Mont Sinaï avec les 10 Commandements, il est très contrarié de voir son peuple vénérer un veau d’or. En effet, il brisa les tablettes de pierre et instruit son peuple de s’entretuer pour se purifier (Ex 32). La plupart des spécialistes bibliques attribueraient cette colère au fait que les Israelites étaient en adoration devant ce qui devait être une fausse idole. En réalité, le veau d’or représente l’Ère du Taureau (Taurus) et Moïse représente l’Ère du Bélier. C’est pourquoi, de nos jours encore, les juifs soufflent dans des cornes de Bélier. D’autres divinités marquent également ces transitions, comme Mythra, un dieu pré-christianisme qui tue un taureau, dans le même symbolisme. Jésus est le personnage qui inaugure l’Ère suivante celle du Bélier, l’Ère des Poissons, représentée par 2 poissons.

 

Le symbolisme du Poisson abonde dans le Nouveau Testament. Jésus nourrissait 5000 personnes avec du pain et 2 poissons (Mt 14:17). Quand il commence son ministère en Galilée, il se lie d’amitié avec 2 pêcheurs qui le suivent. C’est un symbolique astrologique païen, pour le Royaume du Soleil durant l’Ère du Poisson. Aussi, la date de naissance supposée de Jésus marque le commencement de cette Ère. 

Dans Luc 22:10, quand Jésus est interrogé par ses disciples à propos du lieu de la prochaine Pâque, Jésus répond : «  ». Ce passage est de loin l’un des plus révélateurs de toutes les références astrologiques, l’homme portant une cruche d’eau est le Verseau, le porteur d’eau, toujours représenté comme un homme versant de l’eau de sa cruche. Il personnifie l’Ère suivante celle des poissons. 

Quand le soleil (Le Soleil de Dieu) quittera à l’Ère des Poissons (Jésus), il ira dans la Maison du Pain du Verseau, puisque le Verseau suit les Poissons dans la Précession des Équinoxes. Tout ce que dit Jésus, c’est qu’après l’Ère du Poisson viendra l’Ère du Verseau.

 

Nous avons tous entendu parler de la fin des temps et de la fin du monde. Mis à part les Écritures du Livre des Révélations, la source principale de cette idée vient de Matthieu 28:20 où Jésus dit : «   ». 

Cependant, dans la version du roi Jacques, ‘’Monde’’ est une erreur de traduction parmi tant d’autres. En fait, le mot employé est ‘’Aeon‘’, qui veut dire : ‘’Âge’’, ou ‘’ Ère’’ ‘’Je serai avec vous jusqu’à la fin de l’Ère’’. C’est qui est vrai, puisque la personnification solaire de Jésus, relative aux Poissons, cessera lorsque le soleil entrera dans l’Ère du Verseau. 

 

Le concept entier de la fin des temps des temps, ou de la fin du monde est une allégorie astrologie mal interprétée. De plus, le personnage Jésus, un hybride littéraire et astrologique est de toute évidence un plagiat du dieu soleil égyptien Horus. Par exemple, gravées depuis environ 3500 ans sur les murs du temple de Luxore en Égypte, on peut voir des images de l’annonciation, de la conception immaculée de la naissance et de l’adoration d’Horus. Ces images commencent avec Tho prévenant la vierge Iris qu’elle donnera naissance à d’Horus, Kneph le saint esprit fécondant la vierge, puis la naissance virginale et l’adoration. C’est précisément l’histoire de la conception miraculeuse de Jésus. Les similarités littéraires entre la religion égyptienne et de la religion chrétienne sont stupéfiantes. Le plagiat est omniprésent. L’histoire de Noé et de l’arche de Noé est extraite directement de la tradition. Le concept du déluge est très répondu dans le monde antique, avec plus de 200 citations à travers différentes époques. Cependant, pour trouver une source pré-christianisme, il suffit de lire l’épopée de Gilgamesh écrit en 2600 ans av J-Ch. Ce récit traite un déluge commandé par dieu, d’une arche accueillant des animaux sauvés  et même du lâché et du retour d’une colombe, tout ces faits et beaucoup d’autres encore sont communs avec le récit biblique. 

 

Puis il y a aussi le plagiat de l’histoire de Moïse. À la naissance de Moïse, il est dit qu’il fut placé dans une corbeille en roseau et laissé à la dérive dans une rivière afin d’échapper à l’infanticide. Plus tard, il fut sauvé par une princesse qui l’éleva en tant que prince. Cette thématique d’un bébé dans un panier a été directement reprise du mythe de Sargon d’Akkad vers l’an 2250 ans av J-Ch. Sargon naquit, fut placé dans une corbeille en roseau afin d’échapper à l‘infanticide et laissé à la dérive dans une rivière. Il fut ensuite sauvé et élevé par Akki, une sage-femme royale. De plus, Moïse est connu comme le porteur des Lois, ‘le porteur des 10 Commandements’, ou ‘ Lois de Moïse’. Toutefois, l’idée de la transmission des Lois par Dieu à un prophète sur une montagne est aussi un thème très ancien. Moïse est un porteur de Loi parmi une longue alignée de porteurs de lois dans l’histoire mythologique.

En Inde, Manu était le grand porteur de loi. En Crète, Minos descendant du Mont dicté, où Zeus lui avait donné les lois sacrées, alors qu’en Égypte il y avait Mises qui portait des tablettes de pierre sur lesquelles les lois de dieu étaient inscrites. Manu ; Minos ; Mises ; Moïse. 


Quand aux 10 Commandements, ils ont était directement extraits de la formule 125 du livre des morts égyptiens. La formulation « Je n’ai pas volé » du livre des morts est devenu « tu ne voleras point », « je n’ai pas tué » est devenu « tu ne tueras point », « je n’ai pas menti »  est devenu « tu ne porteras de faux témoignages », et ainsi de suite. En fait, il est probable que la religion égyptienne constitue le socle fondateur de la théologie Judéo-chrétienne. Le Baptême, la Vie après la Mort, le Jugement Final, la Naissance Virginale, la Mort et la Résurrection, la Crucifixion, l’Arche de l’Alliance, la Circoncision, les Sauveurs, la Sainte Communion, le Déluge, Pâques, Noël, la Pâque, et bien d’autres éléments sont des attributs de concepts égyptiens largement antérieur au christianisme et au judaïsme. 

Justin le martyr (l’an 100-165 après J-Ch), l’un des premiers historiens et défenseurs du christianisme, écrivit : « lorsque nous disons que lui, Jésus-Christ, notre maître, fut engendré sans union sexuelle, fut crucifié, mourut, ressuscita et monta au ciel, nous n’avançons rien de différent de ce que vous croyez quant à ceux que vous appelez fils  de Jupiter. » Dans un autre texte, Justin le martyr déclara : « Il est né d’une vierge, acceptez cela en commun avec vos croyances au sujet de Persée ». Il est évident que Justin ainsi que d’autres chrétiens antiques savaient à quel point le christianisme était similaire aux relions païennes. Toutefois, Justin avait une solution : « c’était l’œuvre du diable. Le diable eut la clairvoyance d’arriver avant le Christ et de créer ces caractéristiques dans le monde païen. »

(P. Joseph) : « La Bible n’est rien d’autres qu’un hybride littéraire astro-théologique, tout comme la quasi-totalité des mythes religieux précédant. » En fait, le transfert d’attributs d’un personnage à un autre peut être retrouvé dans la Bible Elle-même. Dans l’Ancien Testament il y a l’histoire de Joseph. Joseph était un prototype de Jésus. Joseph naquit miraculeusement, Jésus naquit miraculeusement. Joseph avait 12 frères, Jésus eut 12 disciples. Joseph fut vendu pour 20 pièces d’argent, Jésus fut vendu pour 30 pièces d’argent. Son frère Juda suggéra de vendre Joseph, son disciple Judas suggéra de vendre Jésus. Joseph entreprit son œuvre à l’âge de 30 ans, Jésus entreprit son œuvre à l’âge de 30 ans. Les analogies n’en finissent pas. De plus, existe t-il une preuve historique non biblique d’une personne ayant vécu et portant le nom de Jésus, Fils de Dieu, qui voyageait avec 12 disciples, guérissant des malades, etc.. ? De nombreux historiens vivaient autour de la Méditerranée soit pendant soit juste après la vie présumée de Jésus. Combien de ces historiens ont documenté ce personnage ? Pas un seul !

Toutefois, cela ne veut pas dire que les défenseurs de Jésus historique n’ont pas clamé le contraire. Quatre historiens sont généralement cités pour justifier l’existence de Jésus. Pline le Jeune, Suétone et Tacite sont les trois premiers. Chacune de leurs citations n’est constituées de quelques phrases au plus et ne fait référence qu’à Christus, ou Jésus, qui n’est en fait pas un nom, mais un titre. Il signifie : ‘’Oint’’. La quatrième source est Joseph, or celle-ci s’est avérée être un faux depuis des centaines d’années. Malheureusement, elle est toujours citée comme vérité. 

« On pourrait penser qu’un homme qui revient d’entre les morts, qui monta au ciel à la vue de tous et qui accomplissait des miracles qui lui ont été attribués aurait réussi à figurer dans les récits historiques. Ce ne fut pas le cas, car une fois les preuves examinées, il y a une très grande probabilité que le personnage nommé Jésus n’ait même pas existé. La religion chrétienne est une parodie consacrée à l’addiction du soleil, dans laquelle ils ont remplacé le soleil par un homme appelé le Christ et lui ont porté l’adoration originellement portée au soleil. »

Thomas Pains (1737-1809)

(P. Joseph) : « En réalité, Jésus était la divinité solaire de la secte chrétienne gnostique. Tout comme les autres dieux païens, il était une figure mythique. Ce fut l’establishment politique qui chercha à faire entrer Jésus dans l’histoire dans le but d’obtenir un contrôle social. » 

En 325 de notre Ère à Rome, l’Empereur Constantin convoqua le Conseil de Nicéa. C’est durant cette réunion que les doctrines chrétiennes, inspirées politiquement, furent établies. Ainsi commença une longue histoire de massacres religieux et de fraude spirituelle. Durant les 1000 années suivantes le Vatican conserva un étau politique serré sur toute l’Europe, menant des périodes joyeuses comme le Moyen-Âge, en passant par des brillants événements tels que les croisades et l’inquisition. 

 

La chrétienté, comme toutes les autres théologies est une fraude historique. Ces religions servent désormais à dissocier les êtres vivants du monde naturel et à les désunir. Elles facilitent une soumission aveugle à l’autorité. Elles réduisent la responsabilité humaine si bien que ‘’Dieu’’ contrôle tout et d’horribles crimes peuvent ainsi être justifiés au nom de la quête divine. Surtout la religion donne du pouvoir à un establishment politique qui utilise le mythe pour manipuler et pour contrôler les sociétés. Le mythe religieux est l’instrument le plus puissant jamais créé. Il sert de terreau psychologique sur lequel d’autres mythes peuvent fleurir.

 

(D. Griffin) : « Un Mythe est une idée qui, quoique communément admise, est fausse. »

 

Donc en tant que chrétien, quelle explication donneriez-vous à ces détracteurs ?